La recherche d’un thérapeute qui pourra inspirer le confiance est une démarche marquée par des moments d’hésitation et parfois d’inquiétude. Nous sommes exigeants et avec raison, d’abord parce que cela représente un engagement fort, en énergie et en argent. Mais aussi parce qu’on en attend un changement profond, parfois un renouveau qui marquera profondément le reste de notre vie.
La SFG (Société Française de Gestalt) auquel j’appartiens a publié un texte que je trouve très juste sur ce sujet. Vous le trouverez en intégralité sur le site de l’association.
Pour s’assurer que la formation et la pratique de la gestalt-thérapie soit de bonne qualité, les organisations professionnelles de la gestalt se sont structurées depuis plus de 20 ans, afin que leurs adhérents puissent justifier de critères de qualité. Ces critères sont établis par la Déclaration de Strasbourg sur la psychothérapie signée le 21 octobre 1990 par des représentants de quatorze pays d’Europe de l’Ouest et de l’Est. Ils constituent la pierre angulaire de l’Association Européenne de Psychothérapie (EAP) qui est la référence d’exigence en la matière.
Pour être reconnus, il est demandé aux professionnels de la gestalt :
Ainsi, n’hésitez pas à demander à votre gestalt-thérapeute s’il est supervisé dans sa pratique et s’il adhère à une fédération / association professionnelle (CEG-t, FPGT, SFG, SNPPsy, FF2P), disposant d’une commission éthique et déontologie.