Burn-out, désinvestissement professionnel

Le burnout, un épuisement émotionnel, physique et mental résultant d’un stress professionnel chronique, est devenu une préoccupation majeure de santé publique. Face à cette problématique, de plus en plus de personnes cherchent des solutions

Mon thérapeute sur le web…

Mon thérapeute sur le web… Mon objectif est d’assurer la meilleure expérience thérapeutique possible. Or la rencontre d’un thérapeute et de ses patients en dehors du cadre du cabinet thérapeutique peut être un problème difficile.Je veux partager ici comment j’essaie de prendre en compte cette dimension et comment vous pouvez vous attendre à ce que je vous réponde, si nous nous rencontrons sur internet et sur les médias sociaux. Réseaux sociaux Je suis présent sur les réseaux sociaux avec sobriété. Dans la mesure où la thérapie est une relation cadrée entre le patient et le thérapeute, je me réserve le droit de ne pas accepter les demandes de connexion de patients ou d’anciens patients et de ne pas répondre sur ces réseaux. Certaines plates-formes font des demandes de contact à tout notre carnet d’adresse et nos contacts peuvent recevoir des invitations de notre part sans que nous le sachions. Si vous recevez une telle invitation de ma part, le mieux est de l’ignorer. C’est ce que je ferais si je reçois une invitation venant de vous. Commentaires, témoignages, mentions et notations Je ne sollicite aucun commentaire, témoignage, mentions ou notation et je les déconseille concernant les thérapeutes, dans la mesure où ces évaluations sont élaborées en dehors des séances, sans espace thérapeutique pour leur donner un sens. Cependant je ne peux pas les interdire et j’accepte d’utiliser des services qui les affichent, comme les annuaires professionnels. Recherche sur Internet Il est très courant de rechercher sur Internet des informations sur les gens. Vous avez peut-être déjà effectué une recherche sur moi. Il est intéressant de ramener dans une séance de thérapie tout ce qu’une recherche sur votre thérapeute a porté à votre attention. Je préfère ne pas rechercher sur Internet des informations sur les personnes que je vois en tant que thérapeute. Apprendre quelque chose sur vous sans votre consentement ou sans votre connaissance pourrait nuire à la confiance, fondamentale dans notre relation. Cependant je pourrais y être amené en de très rares occasions s’il y a un problème de sécurité. Si c’est le cas, je m’engage à l’évoquer avec vous à la séance suivante. Contact Si au cours de la thérapie, vous avez besoin de me contacter, veuillez utiliser un texto plutôt que les réseaux sociaux. Les textos ont pour but de mieux nous organiser. Veuillez conserver les questions concernant votre thérapie pour la séance elle-même. Dans la mesure où la thérapie est une relation cadrée entre le patient et le thérapeute, je me réserve le droit de ne pas répondre à certains messages. Confidentialité numérique Je respecte vos droits en matière de données personnelles (RGPD). J’attire votre attention sur le fait que vous générez vous-même des données qui ont un impact sur la confidentialité de votre thérapie. Les échanges électroniques ne sont jamais 100% surs : vos textos sont archivés sur vos téléphones ou ordinateurs et peuvent être lus par des tiers. Autre exemple, des proches ont parfois la possibilité de surveiller votre localisation par GPS, et ils peuvent supposer que vous suivez une thérapie si vous vous rendez à mon cabinet. De même, certaines applications utiles pour la santé publique vérifient si vous avez croisé certaines personnes (ex : tousanticovid), et cela peut concerner des clients qui se croisent au cabinet de thérapie.

Déontologie du thérapeute

La déontologie au coeur du travail du thérapeute Pour les praticiens de la psychothérapie, la déontologie s’appuie sur quatre principes fondamentaux : Je me réfère plus précisément au code édicté par la FF2P.  J’ai choisi de faire ma référence de la charte de la SFG (société française de Gestalt) et de son travail sur la déontologie du thérapeute.

Première séance de psychothérapie

Première séance de psychothérapie récit à la première personne En ce moment je me questionne : est-ce qu’une thérapie serait intéressante pour moi, est-ce qu’elle pourrait m’aider à aller mieux ? Je prends mon téléphone et j’appelle. Je tombe sur un répondeur, je découvre la voix du psy, je laisse un message.Il me rappelle un peu plus tard, me pose quelques questions sur ce que je cherche. J’ai envie de lui expliquer, mais je ne suis pas seul. Je m’éloigne un petit peu pour pouvoir parler. C’est notre première discussion, ça dure quelques minutes seulement.Nous convenons d’un rendez-vous. Quelques jours plus tard, je me rends au cabinet de psychothérapie. Je découvre le lieu, je prends place dans la salle d’attente.C’est l’heure : la porte s’ouvre et le thérapeute m’accueille.Je m’installe face à lui, dans un fauteuil. Je le regarde et il me regarde. Je remarque sa façon de s’habiller, ses gestes… Dans cette première séance, je me présente. Il y a un côté administratif : je dois donner mon nom, mon mail, les coordonnées de mon médecin traitant, etc. Mais rapidement, il est question de ma demande, des raisons de ma présence dans ce cabinet de psy.Je sais que je suis le produit de mon histoire, de mes relations avec mes parents, mais aussi celles avec tous ces gens qui m’ont élevé, qui m’ont aimé, qui m’ont blessé ou ceux qui me côtoient sans me remarquer. Parfois, en revisitant certains souvenirs, j’hésite, je suis touché, les mots viennent en flots ou au contraire se tarissent. Je suis gêné, je suis soulagé, je suis surpris… Il me pose des questions bizarres : comment je me sens, est-ce que je ressens des émotions dans mon corps ? Quand il rebondit sur ce que je dis, il a envie de savoir si je suis d’accord ou non, comment je le dirais avec mes mots.Les 50 minutes sont bientôt passées. C’est le moment de décider si je veux un nouveau rendez-vous.Nous convenons de nous voir d’abord sans engagement. Nous fixons 3 dates que je peux annuler sans avoir besoin de me justifier. Il faudra juste que je prévienne 48 heures à l’avance.À l’issue de cette première rencontre, nous ferons un premier point d’étape, et ce sera le moment pour moi de continuer ou non dans la thérapie. Ce n’est pas une petite décision : je sais qu’il faut du temps, de l’énergie, et de l’argent.J’apprécie ce délai qui me permet de réfléchir, de ressentir ce qui est juste pour moi.Je paye ma séance. J’évalue ce que représentent pour moi ces 70 €. Le thérapeute me reconduit à la porte, je me retrouve seul. Je marche dans la rue en prenant la mesure de ce qui vient de se passer. Est-ce que ce rendez-vous va changer quelque chose à ma vie ? C’est à moi d’en décider maintenant.

Comment se passe une thérapie ?

Comment se passe une thérapie ? Les séances de thérapie se déroulent en cabinet, en individuel et en face-à-face. Je suis assis dans un fauteuil et vous vous asseyez en face de moi. Vous pouvez me voir et je m’adresse à vous librement. Il n’y a pas de divan. Nous pouvons parfois nous déplacer, utiliser des objets (coussins, jeux), faire des dessins ou des schémas… Je peux aussi vous proposer une thérapie en visio. Durée de chaque séance : 50 minutes. La fréquence est habituellement une fois par semaine. Coût : 70€ la séance.   Les premiers entretiens Les premiers entretiens permettent la rencontre et la prise de contact. Je peux répondre à vos questions et vous préciser comment je propose de travailler. Nous explorons votre demande et vous prenez le temps de vérifier si vous avez envie de travailler avec moi. Je peux aussi vous orienter vers d’autres professionnels si je pense que c’est plus indiqué, ou si vous le demandez. L’engagement dans le travail thérapeutique Ces premiers entretiens permettent d’aborder ensuite un travail de transformation en profondeur. Le travail thérapeutique suppose une certaine disponibilité (habituellement une séance par semaine) et une certaine durée (de quelques mois à quelques années). Pour maintenir cet engagement je veille à la régularité des séances. Tout rendez-vous pris est dû, à moins de l’annuler 48h à l’avance. Il n’y a pas de durée déterminée à l’avance, car une demande initiale peut apporter de nouvelles interrogations. Je propose régulièrement de faire le point sur l’avancement de votre travail, pour vous permettre de prendre du recul, de mesurer vos progrès et de conscientiser ce que vous souhaitez pour la suite. Interrompre une thérapie Chacun est libre d’interrompre sa thérapie quand il le souhaite. Soit parce qu’il considère que son objectif est atteint, soit parce qu’il a découvert une autre dimension qui éclaire différemment sa représentation du monde, soit tout simplement parce qu’il souhaite mettre son énergie dans d’autres activités… Le thérapeute n’a pas à restreindre la liberté de son client. En revanche, il peut donner son avis pour soutenir ce mouvement ou parfois pour attirer l’attention sur des zones fragiles. C’est pour cela que je propose systématiquement de consacrer quelques séances au projet d’interrompre la thérapie avant de passer à l’acte. Code de déontologie et secret professionnel Je suis tenu au secret professionnel et à la confidentialité des séances, dans le cadre de la réglementation et de mes engagements déontologiques.

Thérapie en groupe

Thérapie en groupe : comment ça se passe ? Je propose un travail en collectif, en travaillant notamment l’outil du psychodrame dans un groupe à Paris, un mercredi par mois. Dans une thérapie menée en groupe, le thérapeute accueille un groupe de clients dans une salle. Dans ma pratique, je calcule les horaires pour que chaque membre dispose de suffisamment de temps pour aborder une situation. Mais chacun est libre de prendre ce temps ou de laisser les autres prendre plus de place. Il n’y a pas systématiquement un chronomètre. Chacun est libre de parler de tout ce qui l’occupe. En tant que pilote du groupe, je peux aussi vous aider : je peux vous questionner, vous relancer… Je peux aussi vous ralentir, décider de faire une pause pour vous éviter de vous faire violence. Je peux donner la parole à d’autres pour rechercher des échos, des partages de ressentis, des effets miroirs. Comme en individuel je privilégie le ressenti corporel plutôt que l’élaboration intellectuelle. Les mots doivent être un moyen de partager avec le groupe, pas une solution pour rester seul. Toutes ces possibilités sont évaluées ensemble, dans un cadre sécurisant, et discutées autant que possibles avant d’être agies. Elles ont pour but de vous ouvrir le chemin vers des prises de consciences thérapeutiques. Pourquoi travailler en groupe ? C’est tout naturel : vivre en groupe est notre première expérience du monde. C’est ce que nous avons fait à l’école, en famille, en entreprise… Par comparaison, le cadre de la thérapie individuelle est bien plus extraordinaire : parler de soi de façon intime à un inconnu peut paraitre bien plus intimidant à certains. Le groupe joue le rôle d’un laboratoire où chacun peut tenter l’aventure d’être lui-même dans sa singularité, en remarquant les similitudes et les différences dans le parcours des autres participants. Le groupe convient aussi aux plus réservés, qui pourront d’abord apprendre en regardant les autres progresser, avant d’oser mobiliser l’attention de tous Le groupe de thérapie nous permet de découvrir en sécurité ce qui nous fait souffrir dans nos vies personnelles et professionnelles : timidité invalidante, crainte du jugement, peur d’être exclu… et de le transformer Quels sont les engagements particuliers lors d’un travail de groupe ? A chaque nouvel arrivant dans un groupe, il est important de nommer les engagements particuliers que chacun prends vis-à-vis des autres membres. Il y a toujours un engagement strict de confidentialité, mais d’autres points importants concernent la régularité, les règles de départ du groupe, la façon de s’adresser aux autres pour ne pas créer de souffrance, les relations entre les membres en dehors des regroupements, etc. La participation au groupe de thérapie n’implique pas toujours des consultations individuelles avec le thérapeute, mais je peux le demander. Elles facilitent toujours l’intégration émotionnelle. Ce travail peut être mené à bien avec un autre professionnel.

Thérapie gestalt individuelle

Comment se passe une séance en individuel ? Dans une thérapie gestalt individuelle, le thérapeute accueille son client dans son cabinet de psychothérapie, sur rendez-vous. Dans ma pratique, les séances durent 50 minutes. Vous vous installez face à moi, dans un fauteuil. Je vous regarde et vous me regardez. Ça peut-être un peu intimidant, y compris pour moi.     Vous êtes libre de parler de tout ce qui vous occupe, mais je peux aussi vous aider : je peux vous questionner, vous relancer… Je peux aussi vous ralentir, décider de faire une pause pour vous éviter de vous faire violence. Je dirige fréquemment votre attention vers votre ressenti corporel. Je vous propose de partager ce que vous expérimentez avec moi, par des mots. Parfois je vous propose les miens, et je vous demande de vérifier si ça vous parait juste, la façon dont j’ai dit les choses. Je vous demande de reformuler : comment vous diriez, avec vos mots à vous ? Il n’y a quasiment jamais de contact physique entre nous. Ça peut cependant arriver, comme étape avancée d’un travail, après en avoir examiné toute la portée. Je travaille par exemple sur la proxémie : quel effet cela fait d’être rapproché, éloigné… ? Je peux aussi vous proposer d’utiliser des objets (un coussin, une peluche…) ou un paper-board pour dessiner. Parfois, je vous encourage à prendre de la place, à explorer le cabinet de thérapie pour vous déployer, vous cacher, trouver un endroit ressourçant, exprimer vos affinités. Toutes ces possibilités sont évaluées ensemble, dans un cadre sécurisant, et discutées autant que possibles avant d’être agies. Elles ont pour but de vous ouvrir le chemin vers des prises de consciences thérapeutiques. Dans certains cas, les séances de psychothérapie peuvent se dérouler à distance en visio, ou même par téléphone. Nous nous mettons d’accord au préalable avant de le décider.

Questions fréquentes

Questions fréquentes Le tarif 2024-2025 est 70 € pour 50 minutes Je peux dans certains cas adapter le tarif mais il y a toujours un prix à mes séances, puisque je suis un professionnel. L’assurance maladie évolue sur ce sujet mais pour l’instant la réponse est non. Toute séance non annulée 48h à l’avance est due, sauf cas de force majeure à apprécier ensemble. Je suggère un premier contact par téléphone. Espèce ou virement bancaire. Ni CB ni chèques.

La Gestalt : Perls et Goodman (1951)

La Gestalt : Perls et Goodman (1951) La gestalt est très utilisée depuis les années 1980 en coaching et en thérapie, dans l’entreprise comme dans le secteur de la santé et de l’aide sociale. Cette approche a été initiée en 1951 par le psychiatre et psychanalyste allemand Fritz Perls (1893–1970), avec le concours de Paul Goodman (1911-1972), un écrivain américain précurseur des grands mouvements de libération culturelle des années 60. À partir de cette lancée et jusqu’à aujourd’hui, de nombreux gestaltistes ont continué et fait évoluer la pratique et la recherche clinique aux États-Unis, en Europe et en Amérique Latine. « Gestalt » est un mot compliqué, que les tenants de cette approche ont choisi de conserver en allemand, et c’est sans doute mieux ainsi ! Car en français il devrait se traduire par « processus de formation de la forme », c’est à dire la figure qui apparaît à un moment donné comme capable de répondre à notre besoin. Les praticiens qui recourent à la Gestalt-thérapie soutiennent leur client pour qu’il puisse : différer son jugement et privilégier l’expérience nouvelle, mobiliser son énergie et ses sensations physiques pour augmenter sa sensation de vitalité, développer sa curiosité, sa disponibilité à l’imprévu et à l’inédit, créer de nouveaux liens avec les autres, et ressentir de la confiance et la sensation de sécurité dans un monde incertain. C’est une approche d’inspiration holistique, relationnelle et existentialiste, qui propose à chacun de prendre la responsabilité de ses actions en se tenant à égale distance de l’impuissance et de la toute-puissance. Pour en savoir plus : La Gestalt-thérapie, par Chantal Masquelier-SavatierPresses Universitaires de France, 2017Collection Que sais-je ? Dans mes séances de psychothérapie, je m’inspire particulièrement de cette approche pour privilégier le ressenti plutôt que les discussions intellectuelles, en attirant l’attention de mes clients sur le corps et le moment présent.  

Qui suis-je ?

Qui suis-je ? Je suis gestalt-praticien (certification École Parisienne de Gestalt), et je peux vous recevoir pour une psychothérapie construite ensemble. Une thérapie relationnelle peut vous aider quand vous rencontrez des troubles répétitifs avec les autres, qu’ils apparaissent dans les relations amoureuses, avec vos collègues, vos parents ou vos enfants. Prenez rendez-vous par téléphone : 06 08 32 10 93       J’exerce la psychothérapie avec engagement et précaution, pour accompagner les personnes en souffrance vers le mieux-être. Quand la réalité devient insupportable jour après jour, ou à la suite d’un événement inattendu, nous doutons parfois de notre capacité à faire face. Il peut nous sembler impossible de donner un sens à ce qui nous arrive. Parfois même nous regardons impuissants une part de nous-même nous conduire vers ce que nous redoutons le plus. Pour transformer ce désarroi en chemin de résilience, je m’appuie sur des ressources que je développe en continu depuis plus de 20 ans : L’attention à ce que je ressens, pour soutenir ce qui apparaît de vivant dans la situation et la rencontre.Mon engagement dans la relation thérapeutique, qui donne un appui solide à la personne pour explorer sa dimension relationnelle.La curiosité : l’enjeu est de suspendre le jugement le temps d’aller à la rencontre de l’autre, là où il se trouve.La créativité, comme moyen d’explorer les possibilités qui s’offrent à chaque instant.L’humilité : oser aborder l’inconnu sans chercher à le maitriser tout de suite. Ma méthode thérapeutique : la Gestalt-thérapie. Je suis supervisé régulièrement dans ma pratique. J’adhère à la Société Française de Gestalt et à son code de déontologie.   Mes autres expériences professionnelles : J’ai commencé mon parcours professionnel dans la production multimédia et l’industrie d’internet avec Doctissimo. Après dix années à développer ce site et beaucoup d’autres, je me suis éloigné du management et de la technique, pour me tourner plus particulièrement vers le contenu journalistique. Pendant 10 ans, j’ai écrit des articles et piloté des projets éditoriaux pour l’entreprise, et pour les médias, en dirigeant ma propre agence. J’ai été rédacteur en chef du site du Dr. David Servan-Schreiber, consacré à la prévention et à la guérison. J’ai également produit documentaires et films institutionnels. À cette occasion, j’ai découvert l’apport de la Gestalt pour accompagner les personnes timides face à la caméra. Je me suis formé à l’école parisienne de Gestalt, le principal organisme représentant cette approche en France, pour ouvrir le champ des possibilités d’accompagnement. Je continue à suivre des enseignements de spécialité, tout en accompagnant ma patientèle à Paris et aux Lilas (Seine Saint-Denis), et en intervenant en entreprise, en accompagnant des professionnels pour leur prise de parole en public ou face à la caméra.   Diplômes et Formations Gestalt-praticien (certification Ecole Parisienne de Gestalt, 2017) Master 2 Spécialisé en Journalisme CELSA – Université Paris IV (2007). Formation cinéma documentaire aux Ateliers Varan (2013). DESS Gestion et informatisation des entreprises – Paris IX Dauphine (1993)